Nous collaborons avec la mer

Entreprise bretonne, implantée à Saint-Malo depuis 1972, PHYTOMER apporte aux femmes et aux hommes du monde entier les bienfaits de la mer pour la peau. Nous avons choisi la Bretagne pour son exceptionnelle richesse. Avec ses 2 700 km de côtes, c’est la zone d’Europe qui rassemble la plus grande biodiversité marine. Il n’est pas nécessaire d’aller loin pour trouver les meilleurs ingrédients : 80% de nos actifs viennent de Bretagne à quelques kilomètres de notre siège et de nos Laboratoires de la baie du Mont Saint-Michel. Nous les utilisons pour créer des produits innovants et ultra-efficaces. Et parce que nous aimons profondément la mer, nous nous engageons à préserver son extraordinaire biodiversité et à ne pas épuiser ses ressources naturelles. Pour cela, nous avons développé des cultures durables d’algues en mer et en laboratoire. Ambassadrice PHYTOMER et célèbre navigatrice de Saint-Malo, Servane Escoffier a, le temps d’une journée, participé à ces cultures d’algues. Cette amoureuse du littoral breton a été de découvertes en découvertes sur cette mer qu’elle côtoie au quotidien.

 La culture d'algues en mer

C’est en Rance, à quelques kilomètres de Saint-Malo que Servane a pris part à la récolte de l’Algue Tisseuse. Une algue qui a le pouvoir de retenir l’eau au cœur même de la peau et de prévenir la déshydratation, ce qui en fait l’actif phare des soins hydratants visage de PHYTOMER.
Récolte de l'algue TisseuseRécolte à la main de l'algue tisseuse
  Afin de garantir sa qualité et de préserver sa survie naturelle, cette algue brune est cultivée  sur cordes en zone protégée. Elle atteint sa maturité et est récoltée entre avril et juin en fonction des aléas des marées. La récolte est effectuée à la main. C’est un travail physique, il faut hisser les cordes hors de l’eau et couper chaque algue en prenant soin de ne pas l’abimer. Plusieurs tonnes peuvent être récoltées par jour.
« Je suis très contente d’avoir découvert comment une algue, cultivée avec passion à côté de Saint-Malo peut être incorporée dans une crème et rendre belle. » Servane Escoffier
 

La culture d'algues en Laboratoire

PHYTOMER cultive dans ses Laboratoires les algues les plus fragiles ou en voie d’extinction. Ce procédé permet d’utiliser leurs bienfaits cosmétiques sans les extraire de leur milieu naturel et préserver la biodiversité marine.
Servane a rencontré Eric Gasparotto, Responsable du Développement des Ingrédients Actifs qui a pour mission de découvrir, apprivoiser et étudier les nouvelles algues, plantes et micro-organismes marins à fort potentiel. Et de le faire de manière durable et raisonnée, notamment à travers des programmes écoresponsables de culture d’algues.  Avec Éric, Servane a découvert une multitude d’algues différentes, chacune contenant des propriétés extraordinaires qui, si on sait les utiliser, permettent d’apporter des réponses efficaces aux problématiques beauté des hommes et des femmes.
 
 Découverte cultures d'algues
 
Servane s’est particulièrement intéressée à la culture en laboratoire de la Jania, une algue rouge exceptionnellement riche en calcium. Il a fallu 5 ans de travail pour mettre en place un procédé unique qui permet de cultiver la Jania en dehors de la mer. À partir d’une bouture que l’on met dans de l’eau de mer avec les nutriments nécessaires tels que la lumière, elles vont se développer et grandir. Comme elles sont agitées, d’autres boutures vont se générer automatiquement, grandir, générer plus de mouvement et de quantité, puis former des pompons purs, naturels et très actifs.
La Jania est ensuite récoltée puis séchée avant de pouvoir être utilisée pour la fabrication des soins PHYTOMER. On la retrouve notamment dans la Crème 30, Solution Repulpante 1ères rides. Intégrée à cette nouvelle crème anti-âge, la Jania aide à neutraliser les radicaux libres générés par le stress mental et à relancer la synthèse de collagène.
 
Culture de la Jania en LaboratoireRécolte de la Jania par Servane Escoffier, ambassadrice PHYTOMER
 
« J’ai pris conscience de l’importance de cultiver les algues en laboratoire : cela permet de ne pas les extraire de leur milieu naturel et donc de préserver les ressources. » Servane Escoffier